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La société chargée de la manutention du port de Moroni a célébré ce jeudi 12 mai 2022, la journée mondiale de la santé et de la sécurité au travail. Cela devrait être célébré le 28 avril denier, mais la société l’a repoussée à cause du ramadan. La cérémonie a été faite en collaboration avec le Croissant rouge comorien qui a par la suite démontré une séance de sécurisation au niveau des agents.
Comme chaque année, le monde célèbre la journée mondiale de la santé et la sécurité au travail le 28 avril. Mais à cause du ramadan, Moroni Terminal a repoussé la célébration jusqu’à hier jeudi 12 mai. « Cette année, on n’a pas pu la célébrer à la même date du 28 avril comme tout le monde à cause du mois de ramadan. Mais en tant qu’une grande société qui prend en considération la santé et la sécurité de ses agents, la journée ne peut pas passer inaperçue. Nous y voila aujourd’hui en train de la célébrer, avec la présence du Croissant rouge. C’est très important pour nous, car cette journée marque d’une manière générale que la protection des agents est primordiale. Car le travail ne peut pas être réalisé sans les agents. Et l’agent ne peut pas aussi travailler s’il n’est pas en bonne santé et en sécurité », avance Mohamed Abdou Soilihi alias Dr Mass. Le chargé de la communication de ladite société a montré que leur gérant tient à cœur la santé et la sécurité du personnel.
De son côté, Ben Amadi Yahaya chef de la sécurité des agents de Moroni Terminal a précisé que Moroni Terminal ne ménage aucun efforts pour protéger ses agents. « Nos agents risquent un danger chaque jour en venant au travail. Raison pour laquelle notre directeur n’à jamais cessé de nous protéger en termes de matériels de protections. Et également en les assurant et en les prenant en charge en cas d’accident qui nécessite une évacuation », souligne-t-il.
Au delà de la santé, des formations sont aussi dispensées aux agents de Moroni Terminal, d’où la présence du Croissant Rouge lors de cette journée. « Le croissant rouge va nous montrer comment sauver un agent dans une situation grave. Ainsi, on serait capable de l’aider jusqu’à l’évacuer à l’hôpital », conclut-il.
Nassuf Ben Amad
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