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3000 tests chaque mois pour faire face à la covid-19, c’est l’objectif du CHN El-Maarouf. Les patients et les gardes malades sont appelés à un dépistage afin de protéger les malades ainsi que les soignants.
Devant la presse samedi 16 octobre dernier, la direction du CHN El-Maarouf a fait une mise au point sur la gestion de la covid-19 au sein de l’hôpital. Le docteur Azhar Soilihi au côté du chargé de communication et la surveillante général du CHN, a expliqué que l’hôpital a mis en place depuis peu une nouvelle stratégie pour faire face à la pandémie de Covid-19 afin d’assurer la prise en charge des patients et le bon déroulement de la vaccination. Selon ce médecin, la direction générale se veut rassurante. Et dans sa stratégie, il est exigé aux malades et gardes malades de faire le dépistage de la covid-19. Un moyen plus sûr, qui permet de mieux lutter contre la pandémie. « Cette méthode permet de mieux protéger nos malades mais aussi de situer les critères des personnes malades, s’ils sont asymptomatique afin de les accompagner au plus vite. Le service est capable de réaliser 3000 tests chaque mois », précise-t-il.
En ce qui concerne la vaccination, la secrétaire générale Djamila Omar fait savoir que le site de l’hôpital a des procédures claires. Avant de faire la vaccination, les personnes sur place ont le devoir de faire le dépistage pour s’assurer que la personne est en forme avant injection. « L’hôpital est choisi également comme un site de prise en charge pour accueillir les personnes présentant des formes graves après le vaccin. Cette prise en charge obligatoire a été mise en place par les autorités sanitaires afin de limiter les dégâts et de veiller à la sureté de la population et bien évidement les effets secondaires moins atténuantes sont gérés par les districts régionaux », souligne celle qui n’a pas manqué de conscientiser une fois de plus la population. « La Covid-19 est avant tout une maladie qui attaque les voies respiratoire qui peut engendrer une détresse respiratoire potentiellement mortelle pour les cas graves, nous devons tous faire attention aux personnes exemptées de vaccination, comme les femmes enceintes, les personnes épileptiques et les allergiques ou soufrant des maladies chroniques, etc », dit-elle.
Andjouza Abouheir
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