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Devant les députés, le ministre des Finances, Ibrahim Mohamed Abdourazak, a exposé mardi dernier, les grandes orientations du projet de loi de finances 2026. Discipline budgétaire, soutien à la production nationale et renforcement social forment le socle d’un budget axé sur la stabilité et la croissance durable.
Avant qu’il soit présenté en plénière pour le vote, le ministre des finances, Ibrahim Mohamed Abdourazak, était devant les élus ce mardi11 novembre, pour une exposition des grandes orientations du projet de loi de finances 2026. « La loi de finances 2026 s’inscrit dans la continuité des réformes engagées pour renforcer la stabilité macroéconomique, moderniser la gestion publique et stimuler la croissance nationale », déclare le ministre avant de préciser que ce budget repose sur trois piliers essentiels. « La consolidation de la discipline budgétaire », ajoute-t-il, constitue la première priorité, afin de garantir la soutenabilité des finances publiques et une meilleure maîtrise des dépenses de l’État., ce mardi 2025.
Le second axe, ajoute M. Abdourazak devant les parlementaires, concerne « le soutien au développement économique », avec une attention particulière aux secteurs productifs tels que l’agriculture, l’énergie, les infrastructures et le numérique, considérés comme moteurs de la relance nationale. Enfin, « le renforcement des services sociaux de base » occupe une place centrale dans ce projet de loi. Le ministre souligne la volonté du gouvernement d’améliorer l’accès à l’éducation, à la santé et à la protection sociale pour répondre aux besoins essentiels de la population. Il insiste également sur l’importance « d’une meilleure mobilisation des recettes internes et d’une transparence accrue dans la gestion des deniers publics, en appelant à « une collaboration renforcée entre les institutions publiques et le secteur privé pour créer davantage d’emplois ».
Le ministre affirme pour conclure que « la loi de finances 2026 vise à poser les bases d’une croissance inclusive et durable, conforme à la vision du chef de l’État pour un développement harmonieux du pays ». L’exposé a été salué par plusieurs députés dont le président de la Commission des finances. Désormais il ouvre le débat parlementaire sur les grandes priorités économiques et sociales de l’année 2026.
Ibnou M. Abdou
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