De son vrai nom Safyna Djoumoi, elle est une jeune comorienne étudiante en ingénierie et architecture à l'université de Strasbourg en France et qui a publié en janvier dernier, une œuvre humoristique intitulée « La loi des mées » sous le pseudonyme de Ana F. Rose. Depuis ses études secondaires, Ana F. Rose s'est révélée écrivaine à travers deux livres inédits, mais qui sont probablement ses prochains projets après le succès de « La loi des mées » dans les sites des œuvres électroniques.
A 22 ans, elle montre déjà une verve extraordinaire à travers sa première production littéraire « La loi des mées ». Ana F. Safyna est une jeune comorienne native de Vouvouni qui poursuit des études d'architecture à l'université de Strasbourg en France. Mais ces genres d'études relatives à la filière scientifique n'altèrent guère sa passion envers l'écriture littéraire. Avant de publier « La loi des mées » aux éditions auto, la jeune écrivaine avait déjà deux œuvres inédites. Des productions qui peuvent être ses projets d'avenir car elle rêve de faire une carrière sur la publication d’œuvres littéraires.
Ainsi son œuvre est un livre humoristique qui raconte en fait l'histoire d'une relation contre nature qui semblait être parfaite au début. À travers une description parfaite du livre ou pour le dire un résumé on retrouve cet extrait qui montre que « les fées existent, quoique certains terrestres l’aient oublié. L’histoire est celle de deux héritiers qui, pour servir les intérêts de leurs familles respectives ainsi que les leurs, se voient fiancés. Le premier est une fée d’engeance divine, l’autre un humain ordinaire, orphelin de mère. Convenus de partager leurs noms au présent, ils se découvriront un passé commun qui s’avérera lourd de conséquences pour leur avenir ».
C'est ce passage très émouvant qui suscite l'envie de lire l'ouvrage. A travers une lecture cursive du livre, on comprend que l'histoire reflète une réalité, bien que l'auteur se soit servi d'une fée et d'un humain pour parler d'une relation devant servir tout d'abord les biens de leurs parents. L'accent est mis sur les mariages fondés sur l'attachement matériel et ses conséquences. Bien que ce livre contienne 241 pages, le message s'avère trop implicite. Il ne cesse de surprendre toute lecture animée par la curiosité de découvrir la fin mystérieuse de la relation entre la fée et l'homme ordinaire. L'écrivaine se prépare déjà à ses prochaines éditions dans les temps à venir.
Kamal Gamal
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